La créatrice

Je crée entre deux mondes.
De la lumière entre mes mains
à celle que murmure la matière

Je suis une passeuse.
Une tisseuse.
Une alchimiste de la matière oubliée.
Je suis à la croisée des mondes – entre visible et invisible, mémoire et magie, nature et feu sacré.

Hello ! Je m’appelle Nirine

Et je vis à Vallorbe, dans un cocon niché entre la pierre et les arbres, tout près d’une forêt enchantée. C’est là, dans ce sanctuaire vivant, que je me ressource, que je rêve, que je crée.
Je vis seule… ou presque. Ma compagne de vie s’appelle Zarina — une chatte libre, douce et féline, qui m’aide à réveiller le côté sauvage en moi.

Je suis faite d’un mélange rare :
de solitude aimée et de liens sacrés.
De profondeur méditative et d’élan vers l’autre.
De silence habité et de connexions vibrantes.

Projector 2/4 en Human Design, je suis une guide.
Une tisseuse d’énergie, une éclaireuse qui voit au-delà des formes.
Je capte, je canalise, souvent la nuit, et toujours en créant.
Quand mes mains touchent la matière, des messages descendent,
et je les écoute comme on écoute une rivière chanter.

Je suis hypersensible et haut potentiel.
Un peu sorcière, un peu rebelle, souvent à contre-courant.
C’est pour cela que j’aime autant peindre des mini-lunes
avec une patience infinie
que poncer des meubles oubliés à grandes envolées de poussière.

On m’a souvent dit que j’étais une passeuse.
Je crois que c’est vrai.
Je passe la lumière dans les fissures.
Je transforme les silences en poésie.
Je relie ce qui semblait éteint à ce qui vibre encore.

Bienvenue dans mon monde.
Ici, la création est un langage.
Et la matière, un chant sacré.

Créer pour c’est…

Créer est pour moi un acte sacré, une manière de prier sans mots.
À travers mes objets, j’invite à une reconnexion intime — à soi-même, à la nature, au beau, à l’énergie universelle.

Mais créer, ce n’est pas seulement faire beau.
C’est faire vrai, faire soin, faire sens.

Je ne peux imaginer créer un objet qui ne guérit pas un peu.
La beauté soigne. La douceur transforme.
Et chaque pièce que je fais naître est pensée pour être utile, vivante, vibrante.
Un rituel dans les mains. Une médecine dans la matière.

Créer, c’est aussi mon langage le plus pur.
Je crée pour m’exprimer, pour transmuter ce qui me traverse,
pour comprendre ce que mon cœur me murmure quand il n’a pas encore les mots.

Ce n’est pas une action que je choisis.
C’est un mode de vie.
Une manière d’habiter le monde.
Et de tisser, jour après jour, une poésie incarnée.

Sorcière-alchimiste

Je suis de celles qui voient le potentiel avant la forme.
Je murmure à la matière ce qu’elle a oublié.
Et mes mains, nourries par des gestes anciens,
Transforment le banal en sacré, le cassé en lumineux.

Entre mon atelier et la forêt, entre la peinture et le Palo Santo,
je passe du tangible à l’énergétique sans effort.
Je ne suis pas qu’une créatrice, je suis une artisane de lumière.

les dons hérités dans mes mains

Ce que mes mains savent, avant moi

Avant même que je comprenne ce que je venais tisser dans cette vie,
mes mains, elles, savaient déjà.

Elles caressaient la matière avec une mémoire ancienne,
comme si chaque geste réveillait un souvenir enfoui en moi.

Petite anecdote : je viens d’une famille de bricoleurs.
Mais ces compétences ne m’ont pas été transmises concrètement,
pas dans cette incarnation.
Seule ma mère, enfant, savait créer ces espaces de jeu
où mes mains pouvaient — à nouveau — se souvenir.

Oh oui, mes mains ont toujours su :
réparer, tresser, assembler, transformer.
Sans réfléchir. Sans apprendre.

Comme si quelque chose de plus grand les guidait.
Elles sentaient le bois blessé, les fibres fragiles, les objets fatigués.
Et elles murmuraient :
“Je ne suis pas finie. Aide-moi à renaître à mon essence.”

Longtemps, j’ai cru que je créais de l’art.
Aujourd’hui, je sais que je réveille des âmes.

Mes mains, héritées de mes ancêtres — autant du côté de mon père que de ma mère —,
des mains silencieuses mais puissantes,
sont les gardiennes d’une magie que je ne fais que retrouver.

Alors, quand tu regardes mes créations, souviens-toi :
elles viennent d’un autre monde.
Je crée des bijoux, des objets rituels, je retape des meubles…
depuis un an à peine.

Mais mes mains, elles, le font depuis toujours.

Aux travers de mes créations,
j’honore mon héritage familial

A travers NirinCréa, j’honore mon histoire.
La petite fille que j’étais, remplie de rêves. Ma mère, gardienne intuitive de la poésie.
Mon père, bâtisseur silencieux, astucieux et habile.

Et je me réconcilie avec mon héritage familial.

Chaque meuble est un hommage. Chaque bijou, une prière transmise. Je tisse mes racines dans chaque objet.

J'honore Tchoupi,

ma petite fille intérieur

Je te présente Tchoupi : la magicienne.
C’est elle qui rêve à travers mes créations,
qui remet de la magie, de la joie et de la vie dans les fissures.

À chaque fois que je crée, j’entends ses fous rires.
Et chaque fois que je récupère un objet abandonné,
je l’entends me murmurer :
« Il faut le sauver. »

Car Tchoupi est dotée d’une grande sensibilité,
d’une douceur infinie.
Mais c’est aussi une guerrière,
avec de grands idéaux.

J'honore ma mère

au travers de mon Yin

Ma mère, c’est les ailes de la famille.
Très indépendante, elle aime découvrir
de nouveaux lieux, de nouveaux artistes,
de nouvelles techniques artistiques.

C’est aussi la poète de la famille.
Celle qui trouve des solutions créatives quand je bloque.
Elle aime barbouiller, créer sans fin,
se redécouvrir un peu plus chaque jour par la créativité.

Elle peint, dessine, colle, grave, imprime…
Une artiste discrète, mais ô combien talentueuse.

J'honore ma père

au travers de mon Yang

Mon père, c’est les racines de la famille.
Il me ramène au concret, à la matière,
à la réalité, quand j’ai tendance à voler trop haut.

C’est un bâtisseur, issu d’une famille de 11 enfants suisse-allemande paysane.
Il a toujours su construire,
déjouant les obstacles que la vie plaçait sur son chemin.
C’est lui qui a retapé notre maison d’enfance à St-George.

Mais c’est aussi le sage de la famille.
Celui qui sait faire pousser les plantes et en prendre soin.

Son jardin est le plus beau et le plus magique que j’aie jamais vu.
Et peu importe où nous avons vécu,
il a toujours planté de la magie dans la Terre.

L’amour du détail méditatif

Avant la photo, il y a eu la peinture.
Ma première langue intérieure.
Ma première façon de prier.

Quand je peins, le monde ralentit.
Les contours s’effacent,
et je glisse, sans m’en rendre compte,
dans un état de conscience modifiée.

C’est une forme de méditation,
mais aussi de communion.
Avec le divin. Avec mes cellules.
Avec la matière qui veut naître.

Le pinceau devient souffle.
La couleur devient vibration.
Et chaque détail que je pose est un battement de cœur,
un acte de présence.

C’est là que je me sens pleinement vivante.
C’est là que ma « patte » s’est formée.
Un geste lent, habité, presque sacré.

Et ce sont les souvenirs les plus tendres que je garde avec ma mère :
ce regard lumineux qu’elle posait sur moi quand je peignais.
Un regard silencieux,
plein d’admiration et d’amour.
Comme si, à travers mes mains,
elle voyait déjà l’âme que j’allais devenir.

La photographie, c’est l’amour de ma vie.
Un espace sacré où je me sens pleinement moi. Un souffle. Une présence. Une vérité.

Quand je photographie, je ne fige pas le réel. Je l’embrasse. Je le célèbre.
Je me reconnecte à la Vie, ici et maintenant, surtout dans les instants flous,
dans les vagues émotionnelles,
quand tout vacille à l’intérieur —
c’est là que mon regard me ramène à la lumière.

Photographier, c’est guérir.
C’est voir le beau quand tout semble flou. C’est capter l’invisible, le fragile, l’évident.
Et offrir au monde un regard doux et lumineux,
peu importe ce que j’ose révéler :
la nature, le corps, le sacré…
ou les vérités qu’on chuchote à peine.

Ma photographie est ma trace.
Ma manière de dire :

“J’ai vu. J’ai ressenti.
Et j’ai aimé, même là où la lumière semblait absente,
même là où l’on croit que rien ne mérite d’être regardé.”

Mon canal d’âme :
la photographie

Avant la main, il y a l’œil.
C’est la photographie qui m’a appris à ressentir l’invisible
dans les choses les plus ordinaires.

Depuis l’adolescence, je capture les instants.
Les textures, les silences du vivant.
Les battements secrets du monde.

Puis, un jour, j’ai compris que je pouvais aller plus loin :
je pouvais faire entrer ces images dans la matière.

C’est ainsi qu’est née l’idée
d’utiliser mes photographies de nature
comme motif sacré pour mes créations.

Elles sont alors devenues des offrandes.
L’enveloppe vibratoire de mes objets.
Ancrées dans un meuble, un bijou, un talisman.
Comme un souffle d’âme posé sur la matière.

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